Présentation des stagiaires en cinq techniques

La phase de présentation des stagiaires à l’ouverture d’une formation est importante pour initier la constitution du groupe, tant pour les participants que pour le formateur. Il est crucial que la technique, choisie selon le contexte, soit maîtrisée. Le formateur veillera à se présenter en premier, sans ostentation, quel que soit le style de présentation des stagiaires qu’il envisage d’utiliser ensuite. Plusieurs techniques sont à la disposition du formateur, et correspondent à des configurations spécifiques de stages. Présentation des stagiaires en tour de table classique Ce tour de table peut être formel (de gauche à droite ou l’inverse, pour une disposition des tables en U), ou informel (chaque stagiaire s’exprime quand il le souhaite). Il est à privilégier lorsque la période de stage est courte (moins de 5 jours), et que le groupe se compose de participants qui ne se connaissent pas à priori. Présentation des stagiaires croisée en binômes Cette… La suite ici 😉

Les biorythmes pour réussir

Les biorythmes permettent de prévoir nos bons et mauvais jours à partir de nos rythmes de vie. Toute entité vivante obéit à des rythmes. Anticiper une période critique peut permettre d’augmenter la compatibilité de nos actions avec les capacités de notre organisme, et donc de mieux réussir. Nos vies sont gouvernées par des rythmes externes, tels les cycles des saisons, de la lune, de l’ouverture et de la fermeture des fleurs, ou encore de l’alternance du jour et de la nuit, et par des rythmes internes, tels le cycle menstruel de la femme, ou notre rythme cardiaque. De nombreuses expériences ont été menées pour étudier l’impact du décalage de différents rythmes sur notre organisme humain, notamment en situation d’isolation du monde extérieur : le résultat en a toujours été une profonde perturbation chez les individus désolidarisés des rythmes traditionnels, ce qui a confirmé l’existence d’une horloge interne de plus ou moins 24… La suite ici 😉

Décider selon notre scénario de vie gagnant ou perdant

Certaines des difficultés que nous éprouvons dans notre quotidien peuvent trouver des réponses dans l’analyse transactionnelle, au travers d’un scénario de vie gagnant ou perdant. Notre vie quotidienne n’est pas toujours le fruit de décisions prises rationnellement, et certaines de nos actions résultent d’un conditionnement mental, appliqué par nous-mêmes ou par autrui, le plus souvent inconsciemment. Des décisions concrètes (se marier ou non, avoir ou non des enfants, réussir ou non professionnellement, etc.), seront prises à différentes périodes de notre vie, et se traduiront par un grand nombre d’actions, urgentes ou non. Mais, au plus haut niveau de décision existe celle de suivre ou non un scénario. Les six scénarios de vie selon le Docteur Eric Berne (1910-1970), natif de Montréal. Toute personne imagine, dans sa petite enfance, son « scénario de vie », lequel déterminera une conduite à tenir à l’âge adulte. Nous pouvons décider d’être prisonniers de l’un des six… La suite ici 😉

Définir un objectif personnel ou professionnel smart ou valide

Un objectif, qu’il soit personnel ou professionnel, n’est ni un simple but, ni une intention, ni une finalité, ni un programme d’action, ni une norme. Et comme l’indique son nom, le contenu d’un objectif ne doit pas être…. subjectif ! Avant toute chose, un objectif s’exprime de manière positive (« je veux réaliser ») et non pas négative (« je ne veux pas réaliser »). Les acronymes sont supposés favoriser la mémorisation de concepts-clés, et les termes SMART (« smart » = « fûté » en anglais) et VALIDE illustrent la notion d’objectif. Les initiales françaises de « SMART » signifient : Spécifique, Mesurable, Accessible, Réaliste, et défini dans le Temps. Les initiales de « VALIDE » signifient : Valable, Adapté, Limpide, Intéressant, Défini dans le temps, Evaluable. La démarche d’objectif véhiculée par les deux acronymes étant similaire, concentrons-nous sur « VALIDE », en l’illustrant avec un exemple d’objectif personnel et/ou professionnel : celui d’écrire des articles pour le blog de mon site Internet…. La suite ici 😉

Attitudes gagnantes du vendeur en début et en fin de négociation

Quelles attitudes gagnantes sont à privilégier par le vendeur lorsque l’acheteur le teste dès le début de l’entretien commercial ou, à l’inverse, en fin de négociation ? Bien entendu, les difficultés ne sont pas systématiques dans une relation commerciale. Et, en fin d’argumentation, lorsque le vendeur demande à l’acheteur : « Qu’en pensez-vous ?« , il est tout à fait possible que ce client réponde : « Et bien, ma foi, ça me semble tout à fait intéressant !« . Néanmoins, le vendeur gagne toujours à se préparer de manière à adopter spontanément la bonne réaction, le cas échéant. -1- En début d’entretien de négociation commerciale, qu’il s’agisse du premier ou du troisième rendez-vous avec le même acheteur Le « test à l’entrée » : comment gérer les difficultés qui surviennent dès le début du premier entretien de vente. Il s’agit souvent de tentatives d’intimidation du vendeur par le client, et non de véritables objections. Par exemple :… La suite ici 😉

Techniques de manipulation psychologique pour acheter et vendre

Les techniques de manipulation psychologique pour acheter et vendre sont multiples. Anticiper les situations de négociation permettra au vendeur de mieux gérer trois astuces classiques de l’acheteur : la flatterie, les jeux de pouvoir, et le redoutable ultimatum. Les quelques exemples ci-après sont issus de situations réelles personnellement constatées dans ma prime carrière en management de forces de vente. Pour les besoins de l’article, le service commercialisé a été transposé à l’univers de la formation professionnelle. -1- La flatterie : l’acheteur flatte le vendeur pour lui faire lâcher des concessions. L’acheteur, en s’adressant au vendeur, va utiliser des phrases telles que : « Vous disposez d’une grande influence » ou encore « On a le sentiment que votre Direction ne va pas souvent en clientèle« . -2- Les jeux de pouvoir : la réclamation en introduction, l’auto-valorisation, l’approche stratégique (le « saucissonnage » et la « revente d’avantage »), l’objection du prix, le silence. La réclamation en introduction :… La suite ici 😉

Jeu XY : décidez et gagnez autant que vous pouvez

Le jeu XY : décidez et gagnez autant que vous pouvez constitue un exercice bien connu (*) des formateurs en communication, en management, ou en gestion des conflits. Il s’utilise de préférence avant que les relations dans le groupe ne soient établies, et sert à mettre en relief des processus liés à la communication, au leadership, à la résolution de problèmes. Règle du jeu XY : 20 minutes, 10 étapes, gagner ou perdre des euros selon un tableau de distribution Le groupe de stagiaires (entre 12 et 16 personnes) doit se diviser en quatre équipes à peu près égales en nombre de participants. Le jeu dure 20 minutes au total, et comporte dix étapes, de une et quatre minutes chacune. Le débriefing final réclamera environ dix minutes. Chaque équipe détient une seule page A4 avec les 2 tableaux, et deux feuilles de papier format A4, l’une sur laquelle figure une grande lettre « X »,… La suite ici 😉

Efficacité des sous-groupes pédagogiques

Travailler en sous-groupes dans le cadre d’une formation réclame organisation et temps disponible. Alors qu’un groupe dit « restreint » se compose de 7 à 16 membres, les limites d’un sous-groupe vont de trois à six stagiaires. Cette démultiplication réclame une gestion plus rigoureuse de la part du formateur. Pourquoi utiliser une organisation en sous-groupes ? Plusieurs motifs peuvent conduire le formateur à utiliser cette organisation : – Développer l’autonomie et la participation des stagiaires : un participant timide sera sollicité par les autres membres du sous-groupe. – Amener chaque sous-groupe à fournir un résultat concret. – Favoriser l’esprit d’équipe en organisant un travail coopératif, pour lequel les réponses complémentaires de chaque sous-groupe permettront d’atteindre un résultat global final. – A l’inverse, instaurer un climat de compétition entre les sous-groupes, en situant le travail à fournir dans un contexte de challenge. Cette situation est fréquente dans le domaine sportif, mais peut être nécessaire… La suite ici 😉

Identité, énergie, but commun : bases du groupe en formation

Le groupe est un accélérateur d’apprentissage, et repose sur trois composantes de base : identité, énergie, but commun. Le formateur a la responsabilité de favoriser la mise en oeuvre de ce socle, en considérant d’emblée que le groupe qui est devant lui a la faculté d’y parvenir. Les groupes dits « restreints » se composent de 7 à 16 membres, condition de base pour permettre que chaque stagiaire puisse connaitre tous les membres du groupe et établir éventuellement une relation personnelle avec chacun d’entre eux. Trois paramètres permanents sont indispensables à l’existence du groupe restreint. -1- L’identité groupale débute par des présentations individuelles soignées Un groupe restreint se compose, en début de formation, de différents individus qui vont apprendre à se connaitre, notamment au cours de la phase d’ouverture de stage, et établir des relations entre eux, dans le contexte de l’apprentissage, ou lors des pauses. Tout groupe possède une composition bien… La suite ici 😉

Trois fonctions du formateur : production, facilitation, régulation

Une fois initiées les trois composantes du groupe restreint, le formateur doit gérer ses stagiaires au moyen de trois fonctions principales : production, facilitation, régulation, qui constituent l’ABC de tout intervenant. Savoir à quelle fonction se rattache telle ou telle action du formateur n’est pas important en soi, à l’instar d’un individu qui serait en mesure d’énoncer des phrases sans éprouver la nécessité d’en décortiquer l’orthographe. Mais tout intervenant doit sciemment -et non inconsciemment- utiliser les outils de gestion du groupe, afin que sa pratique pédagogique soit efficace.   La fonction de production du formateur ou l’aptitude à faire participer les stagiaires Contrairement à ce qu’on pourrait en supposer, il ne s’agit pas de la production verbale du formateur, mais de celle des stagiaires, lesquels seront sollicités par le truchement de l’interactivité. Les actions du formateur qui participent à cette fonction de production sont principalement les suivantes : Poser des… La suite ici 😉